La dernière impératrice d’Iran, Farah Diba-Pahlavi, passe la commande d’un grand complexe culturel (de plus de 20 000 m2) à Xenakis, en 1971. Plusieurs types de salles pour les arts visuels et sonores sont prévus, mais aussi des centres de pédagogie et de recherche technologique sur le son et l’image, ou encore des aires de jeux et de concerts en plein air, ainsi qu’un parc de résidence pour les artistes et les chercheurs invités. Sans doute inscrit dans la volonté de la monarchie iranienne de s’approcher de l’Occident, ce projet est resté à un stade embryonnaire de conception.